Ça serait un court roman (ou une nouvelle), intégralement constitué(e) de paroles de Goldman. Agencées de façon à raconter un truc sympa, si possible, et à vous coller des centaines de mélodies dans la caboche en un temps record.
Ça frétillera comme du Queneau, se triturera comme du Pérec, ça fera comme un roman par procuration pour nous changer la vie et faire veiller tard.
Pour l’instant… ya rien. Enfin… tout est déjà écrit, éparpillé, façon puzzle.