Premier roman d’une autrice italienne. Une mère se promène dans le temps suspendu et élastique qui correspond à la présence de sa fille prématurée en couveuse. On s’immerge dans une Italie sociale, en appréciant la fraicheur du verbe au gré des rues et des dialogues.
Lecture intéressante, même si au moment de prendre les transports pour de courts trajets, je l’ai attrapé vite fait sur ma pile des livres à lire / en cours / lus pour le balancer dans la besace.
Manque de bol, j’avais déjà oublié qu’il faisait partie des lus. Preuve que les rues italiennes et la salle des prémas sont restées ouvertes sans que ni moi ni l’autrice n’ayons réellement pensé à fermer la porte.