L’arbre qui cache la forêt, ou de l’art d’allumer pour des fruits défendus

Faire glisser la zoé dans le silence de l’aurore sur une départementale à flanc de colline. Pénétrer au détour d’un virage dans une brume qui s’avère être une fumée dense, derrière laquelle de drôles de soleils sont déjà levés : on dirait des débuts d’incendie. Pour apaiser ma conscience citoyenne, dans ce petit matin désertéLire la suite « L’arbre qui cache la forêt, ou de l’art d’allumer pour des fruits défendus »