Me remettre à lire, lire comme quand j’étais adolescente, comme quand le temps s’étirait langoureusement et moi avec, sur la fraicheur d’un dessus de lit, à l’écart à l’étage dans le gîte loin du tintement des couverts, la tête au-dessus du bouquin et la main au-dessus des chips, lire comme si je pouvais m’ensevelir sousLire la suite « Deux sons de croche »